695,2 – Echec

-Quelle est la profession comportant cent pour cent d’échecs  ? La médecine.

– Plus un individu ou un gouvernement accumule les échecs, moins il tolère la contradiction, plus il devient autoritaire.

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« Fonction réparatrice de l’estime de soi après l’échec. » (Christophe André) – D’une bonne estime de soi.

 « Plus l’échec est douloureux, plus on tirera bénéfice à s’astreindre à le regarder en face … Revenir sur son échec, non pour juger, non pour ruminer, mais pour comprendre. » (Christophe André)

« Le perfectionniste préfère ne pas faire plutôt que mal faire et n’aimerait donc agir qu’à coup sûr…. Les leçons  de l’échec sont pourtant préférables à celles du renoncement. »  (Christophe André) – Crainte de l’échec, risque d’abstention, de stagnation… 

« L’ère de l’alibi. Si j’échoue dans mes entreprises, c’est la faute des autres. » (Robert Ardrey)

« La faillibilité progresse avec la liberté. Donc, plus la personnalisation est entreprise par plus d’individus, plus il faut s’attendre à enregistrer des échecs individuels. » (Jean Baechler)

« Aujourd’hui, la défaite est toujours honteuse et elle est tue, niée, alors qu’elle seule est formatrice. Après qu’elle a passé sur une vie, on l’appelle expérience. » (Olivier Bardolle)

« C’est seulement après en avoir pris plein le gueule que l’homme voit ses neurones s’éveiller quelque peu, qu’il entrevoit un peu de vérité, qu’il consent à ne plus la ramener, et enfin qu’il commence à observer le monde autour de lui. Avant la première grande raclée, il s’abîme dans la contemplation de son nombril et reste infréquentable. » (Olivier Bardolle)

« Penser l’échec est déjà une victoire. » (Georges Bastide)

« Sans échec pas de morale. » (Simone de Beauvoir)

« Les ratés ne vous ratent jamais. » (Georges Bernanos)

« Toute notre vie n’est faite que d’échecs, et ces échecs sont les carreaux cassés par où entre l’air. » (Christian Bobin)

« Deux manières de traiter un échec … : ou l’imputer à soi-même et en tirer les conséquences … ou en accuser un tiers, à désigner un responsable acharné à notre perte. ‘Je souffre : certainement quelqu’un doit en être la cause, ainsi raisonnent les brebis maladives’ (Nietzsche – Généalogie de la morale’). »( Pascal Bruckner)

« Un pays qui va célébrer, aux côtés des anglais en 2005, la défaite de Trafalgar y envoie même son plus beau porte-avions mais n’ose commémorer la victoire d’Austerlitz, ne peut que favoriser une sorte de glorification malsaine du fiasco, le culte du ratage grandiose transformé en triomphe imaginaire. » (Pascal Bruckner) – Sous l’impulsion d’un Chirac, toutes les abjections, toutes les prostitutions étaient possibles.

« Il y a de certaines gens qui veulent si ardemment et si déterminément une certaine chose que, de peur de la manquer, ils n’oublient rien de ce qu’il faut faire pour la manquer. » (La Bruyère)

« Les conditions économiques actuelles impliquant des échecs plus nombreux … la société devient une gigantesque usine à produire des ratés. » (Louis Chauvel)

« La recristallisation en masse des inégalités, la mobilité descendante, l’écrasement du pouvoir d’achat des salaires relativement au prix des biens immobiliers (accroissement de l’écart revenu / patrimoine), la paupérisation de cohortes entières de jeunes surdiplômés et la globalisation porteuse d’une montée aux extrêmes de la concurrence forment ensemble une spirale de déclassement aux effets potentiellement dévastateurs … Le processus collectif de déni de la réalité sociale (imposé dictatorialement par les élites politico-médiatiques dominantes) retire aux individus la possibilité de comprendre que leur échec n’est pas le signe d’une insuffisance personnelle mais résulte d’un dysfonctionnement collectif … L’échec est ainsi vécu le plus souvent sur un mode personnel, alors qu’il s’agit avant tout d’une spirale du déclassement systémique d’une société à la dérive. »  (Louis Chauvel – La spirale du déclassement) – Cette stratégie de déni de la part des dominants aboutissant ainsi à diminuer les intéressés, à les culpabiliser, et à déminer toute velléité de rébellion. D’où, à titre de compensation la « psychologisation du mal-être social … La pratique du ‘projet individualisé’ qui remet entre les mains des individus la responsabilité de construire le monde dans lequel ils vivent. »  (François Sicot) – « Selon Pascal, il y a de la folie à croire que ceux que la société distingue méritent de l’être en raison de leurs vertus propres … Une société intimiste, qui fait partout l’apologie de l’authenticité, est propice à ce type de psychose : La réussite et l’échec y sont déclarés ‘personnels’, et donc toujours justifiés. » (Michaël Foessel) – « Chacun devient responsable de son bonheur, et c’est la construction collective même d’un changement sociopolitique qui se trouve sérieusement limitée. » (Eva Illouz)   

 « Ce n’est pas la peur d’entreprendre, c’est la peur de réussir qui explique plus d’un échec. » (Emil Cioran)

« Une seule chose importe, apprendre à être perdant. » (Emil Cioran) – « Apprenez à échouer, sinon vous échouerez à apprendre. » (?) 

« Les enthousiastes commencent à devenir intéressants quand ils sont confrontés à l’échec et que la désillusion les rend  humains. Celui à qui tout réussit est nécessairement superficiel.  … Un minimum de déséquilibre  s’impose. » (Emil Cioran)

« Le désabusement est l’équilibre du vaincu … Le désabusement, recul après un désastre, est le propre de l’individu qui ne peut se détruire par un malheur, ni l’endurer jusqu’au bout pour en triompher. C’est le ‘demi-tragique’ hypostasié. » (Emil Cioran)

 « La seule manière de supporter revers après revers est d’aimer l’idée même de revers. Si on y parvient, plus de surprises : on est supérieur à tout ce qui arrive,  on est une victime invincible. » (Emil Cioran)

« Aux échecs, si la victoire est brillante, l’échec est mat. » (Coluche)

« Dans un si grand revers, que vous reste-t-il ? – Moi. » (Pierre Corneille – Médée   

« Seuls le calcul et la mesure permettent le contrôle des activités humaines par la sanction du résultat, et non plus par ces restrictions à la liberté que constituent la contrainte hiérarchique, la pression idéologique et la manipulation de l’information … Ce type de liberté associé au calcul est extraordinairement difficile à assumer. On commet en général un contresens à ce propos. On suppose que les hommes sont naturellement passionnés de liberté et que c’est l’oppression ou le conditionnement de la société qui les empêche de l’obtenir … Dans la mesure où les privilèges s’amenuisent ou disparaissent, où les barrières cèdent, où les entraves à la liberté de choix disparaissent, la concurrence devient beaucoup plus vive et les individus perdent une bonne part de leur sécurité … Les garanties impersonnelles assurant une sécurité matérielle qu’ils peuvent obtenir n’ont que peu d’impact sur la sécurité psychologique et sur la conscience de soi … Elles ne peuvent résoudre ou atténuer la crise d’identité que provoque la croissance de la liberté, c’est-à-dire la croissance de l’incertitude … La contrainte a beau être d’un ordre tout à fait différent, ne plus être une contrainte de l’homme sur l’homme, mais une contrainte que les individus exercent sur eux-mêmes, il reste que la somme des contraintes est effectivement plus forte et qu’il faut aux individus des ressources plus considérables pour s’en accommoder … Quand l’individu ne peut plus se trouver d’échappatoire ou d’alibi, le problème du risque d’échec et de l’explication de l’échec devient de plus en plus pénible, sinon insupportable. » (Michel Crozier – La société bloquée) – Ce qui explique peut-être, sinon justifie, la prolifération des prétendues victimes et leur avidité.

« L’échec politique est imputé à l’erreur technique. ‘Ce que nous faisions était bien (on ne fait jamais d’erreur) mais on n’a pas su communiquer’, ‘II nous faut faire preuve de pédagogie’ (avec ces lourdauds d’électeurs qui ne comprennent rien…). » (Régis Debray) Ces restrictions, annihilations de responsabilité, ne conviennent pas qu’au secteur politique. Chacun en use à sa manière : C’est pas ma faute.

« Les échecs apprennent, les lauriers endorment … C’est très clair dans l’histoire militaire où les meilleurs stratèges sont les enfants d’une défaite et les mauvais d’une victoire. La défaite de Rossbach) (1757) produit Lazare Carnot ; Iéna explique Clausewitz ; la tripotée de Sedan le maréchal Foch ; Verdun explique Rommel… » (Régis Debray)

« Je n’ai pas échoué des milliers de fois, j’ai réussi des milliers de tentatives qui n’ont pas fonctionné. » (Thomas Edison) – Comment voir ce qu’on nomme échec.

« Action calculée au départ de façon que : ou bien elle réussit, et l’on est satisfait des résultats concrets recherchés ; ou bien elle échoue, mais cet échec même est un excellent instrument de propagande pour la cause … Projet accepté et la gloire comme le profit en reviennent aux auteurs, projet rejeté, et celui qui le rejette est un fauteur de guerre qui refuse la collaboration, la coexistence … En présentant des exigences objectivement raisonnables mais inacceptables pour l’adversaire, la double possibilité d’exploitation permet de maintenir une attitude extrêmement intransigeante. Il n’importe pas vraiment d’aboutir à un résultat. On peut ne rien céder à l’adversaire, puisque  s’il refuse de céder, cela se retournera contre lui …Dans les deux cas, il perdra la face …  L’action porte en elle-même la propagande … Peu importe que l’action soit vraiment utile, ce qui compte c’est son utilisation dans cette ambiguïté … Tel est le calcul où les communistes sont passés maîtres …» (Jacques Ellul – se référant aux pourparlers d’armistice de Pan Mun Jon et surtout aux innombrables initiatives pour la paix de l’ex-URSS) – Les lobbies communautaristes, et subversifs, actuels ont retenu le procédé, d’autant plus efficace dans un monde ultra-médiatisé, stupidement émotif et larmoyant.

« A chaque accident qui te survient, souviens-toi, en te repliant sur toi-même, de te demander quelle force tu possèdes pour en tirer usage. » (Epictète)

« Les échecs fortifient les forts. » (Saint-Exupéry)

« Je parle avec l’autorité de l’échec. » (F. Scot Fitzgerald)

« Rien n’est humiliant que de voir les sots réussir dans les entreprises où l’on échoue. » (Flaubert).

« Echecs (Jeu des). – Tous les grands capitaines y étaient forts. » (Flaubert – Dictionnaire des idées reçues)

« Défaite. – S’essuie. » (Flaubert – Dictionnaire des idées reçues)

« Nous savons que l’échec favorise beaucoup plus la réaction morale que ne le fait le succès. » (Sigmund Freud)  

« A mesure que les identités fixes, fondées sur le groupe, ont fait place aux expériences plus mobiles et individuelles du voyage dans la vie, la promesse d’une plus grande liberté a rendu l’individu davantage responsable de son destin. Les anciennes identités de  classe, plus fortes, apportaient un réconfort contre le sentiment d’échec personnel : les gens pouvaient comprendre leur relative infortune comme une conséquence de leur position dans la hiérarchie sociale. » ((David Goodhart)

« Les purs ont avantage à supposer qu’un traître soit parmi eux … ils l’inventeraient … Au jour de la défaite, personne ne songe à expliquer au peuple que le revers est dû à la lâcheté, la négligence ou les hasards de la guerre. Un peuple ne peut pas s’accepter comme lâche. Un pouvoir ne peut se proclamer fautif. Les dieux ne peuvent être supposés distraits. » (Jean Guitton) – Voir les politiques un soir d’élections perdues.

« Ne décide qu’enthousiasmé. Echoue avec tranquillité. » (Peter Handke – cité par Gérard Depardieu)

« Là où est le péril, là croît aussi ce qui sauve. » (Hölderlin) 

« Nos objectifs  déterminent ce que nous considérons comme un triomphe et ce qui devra être tenu pour un échec … Nous ne sommes humiliés par l’échec que si nous plaçons notre fierté et le sentiment de notre valeur dans l’accomplissement  d’une tâche ou d’un projet. » (William James) 

« L’échec est le terme dernier. » (Karl Jaspers)

« La quête infinie qui aboutit à l’échec infini. » (Hans Jonas – sur notre fébrilité moderne)

« La défaite à doses massives est une drogue dangereuse ; elle devient un penchant. » (Arthur Koestler – évoquant son passé révolutionnaire de l’entre deux guerres, et celui de ses compagnons)

« C’est comme une loi : ceux à qui leur vie se révèle naufrage partent à la chasse aux coupables. » (Milan Kundera)

« Alors on s’étonnera de la profonde nullité de ces hommes, ces insectes bruyants, qui paraissaient si puissants. » (Joseph de Maistre – prévoyant la chute des révolutionnaires de 1789) – Effectivement, les soi-disants puissants ne paraissent tels et parés de qualités (à défaut de vertus) que parce qu’ils disposent de la puissance. Démis et dégringolés, leur nullité saute aux yeux mêmes qui ne voulaient pas voir ; sauf rarissimes exceptions. L’échec, révélateur de la médiocrité ou, plus rarement, de la grandeur.

« Je ne perds jamais, je gagne ou j’apprends. » (Nelson Mandela – cité par Charles Pépin)

« Savez-vous que notre profession de médecin est la seule à comporter cent pour cent d’échecs ? » (un médecin)

«Les élites, ceux qui réussissent ont trop d’argent, et alors ? C’est aux pauvres de se justifier d’être si médiocres et tellement incapables d’être riches, d’être tellement nuls qu’ils ne peuvent pas compter pour quoi que ce soit …  Les pauvres ne sont plus des exploités, ce sont juste des ratés. » (Yves Michaud)

« C’est parfois l’échec qui est le meilleur gage du succès et souvent un retard s’avère plus utile qu’un progrès. » (Henry Miller)

« L’homme qui échoue en quelque chose aime mieux rapporter cet échec à la mauvaise volonté d’un autre qu’au hasard. On peut se venger des personnes, force est bien d’avaler les injures du destin. » (Nietzsche)

« Il peut être plus facile d’effacer un échec que de se remettre d’un succès. » (Jean d’Ormesson)

« Avec leurs grands airs et leur obstination, la fidélité, la rigueur, la tradition ne menaient plus au succès, elles ne menaient qu’à l’échec. Nous avions été jusqu’à aimer l’échec parce que nous aimions ces vertus qui avaient fait notre grandeur. » (Jean d’Ormesson) –   Depuis le règne des fripouilles, que chacun datera à sa convenance.

« Être victime est devenu une espèce de filon, on se crée une place avec ce statut … Les gens veulent se faire valoir non par un succès mais par un échec. » (Marie-Pierre Pruvot, dit Bambi)

« La paix atone que l’on trouve dans l’échec de sa vie. Un échec si profond que l’on ne peut même pas invoquer ses erreurs ou ses vices. C’est l’âme qui a échoué. » (Louis Pauwels)

« La conception linéaire du temps donne à la frustration et à l’échec une dimension dramatique et à la faute la marque de l’irréparable. » (Evelyne Pewzner)

« Comme c’est devenu la règle quand on échoue, ils nous expliquent que c’est parce qu’on n’est pas allé suffisamment loin. » (Natacha Polony) – Sur la construction européenne par exemple, ou sur les opérations humanitaires d’ingérence (Libye, Irak…). Mystérieux Ils.

« Il y avait dans cet homme perdu un ancien désir d’exceller dans une certaine région de la vie, que l’applaudissement aurait pu redresser … Comme il n’avait jamais appris à compter sur lui-même, l’univers, privé de noyau, ne montrait autour de lui aucune consistance. » (Pierre Drieu la Rochelle – Le feu follet)

« Séparation, différenciation d’êtres chers, proches, renoncements à des situations, des croyances ou des certitudes… La perte est aussi la source de la plupart de nos progrès. » (Jacques Salomé)

« Tout travail humain s’arrêterait si les tentatives malheureuses ne laissaient le désir de recommencer. » (Sénèque)

« Quand on juge la capacité plutôt que les résultats … le constat ‘vous manquez de potentiel’ est beaucoup plus accablant que ‘vous avez raté’. Il s’agit d’une proposition plus fondamentale sur ce que vous êtes. Il fait passer beaucoup plus profondément le sentiment d’inutilité. » (Richard Sennett – sur une ambiance nouvelle)

« C’est leur tolérance à l’échec qui m’impressionna le plus : celui-ci semblait n’avoir pour eux aucune implication personnelle … Quand ils échouaient, ce qui leur arrivait souvent, ils allaient tout simplement voir ailleurs. » (Richard Sennett – sur de jeunes entrepreneurs) – Le phénomène est assurément nouveau.

« Qu’y-a-t-il de plus naturel et de plus inévitable que d’être vaincu, d’échouer cent fois, mille fois, avant de réussir. Combien de fois l’enfant tombe-t-il avant de marcher ? Combien de navigateurs inconnus perdus en mer pour un Christophe Colomb qui, guidé par une erreur magnifique, aborde des terres nouvelles ? «  (Victor Serge – Les derniers temps)

« Surmonter des difficultés accrues est d’autant plus précieux que l’échec assure le développement de celui qui réalise la tâche, et ce proportionnellement à la difficulté. » (Alexandre Soljénitsyne)

« Je préfère encore un échec honorable à une lâche victoire. » (Sophocle)

« L’insuccès a peut-être son bon côté, mais nous sommes tellement infatués de réussir que nous ne le voyons pas. » (Edmond Thiaudière)

« Connaissez-vous beaucoup d’hommes qui attribuent leurs échecs à leur incapacité ? » (Gustave Thibon)

« ‘D’autres oiseaux voleront plus loin’. Persévérance à travers l’échec, fidélité aux causes perdues. Obstination héroïque ou entêtement stupide … Critère de discernement : plus l’objet désiré débouche sur l’inconnu et sur le mystère (l’amour, la beauté, le sacré…), moins l’échec doit être dissuasif ; plus au contraire il s’agit de choses terrestres, matérielles, plus l’échec commande un changement d’orientation et plus la fidélité relève de l’utopie. » (Gustave Thibon)

« L’échec : le fondement de la réussite. » (Lao Tseu)

« Parmi les appuis les plus sûrs, qui sont aussi les plus sûrs garants d’une vie ratée, il y  a le rejet global de la responsabilité de ses échecs personnels sur les autres … On trouve sa force dans une vieille peur, celle de formuler la cause  des échecs qui jalonnent forcément une vie humaine … Qu’espérer d’une société dont les intellectuels détournent les individus du désir d’élucider les causes personnelles de leur situation ? … La sociologie ne peut rien pour expliquer l’essentiel, à savoir l’échec ou la réussite d’une personne. » (Philippe Val à propos du sociologisme) – Les hurlements de nos réclamations et invectives dissimulent et notre faillite et notre lâcheté.

« Quand on a échoué dans la vie et que l’on n’est pas content de soi, il arrive qu’on ait la tentation de faire échouer les autres pour se venger (ou se sentir moins seul). » (Bertrand Vergely) – Le nihiliste pervers.

« Qui ne tente rien n’a rien . » (proverbe)

« Après trois ans même un malheur peut servir à quelque chose. » (proverbe)

« Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse. » (proverbe)

« La roche tarpéienne est si proche du Capitole. » (proverbe)

« L’échec est le fondement de la réussite. » (proverbe chinois)

« On apprend peu par la victoire mais beaucoup par l’échec. » (proverbe japonais)

« Les échecs nous confrontent à nous-même et au réel, à la vie telle qu’elle est, et non pas telle que nous voudrions q’elle soit. » (?)

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