405,7 – Homme (ou femme) d’affaires

– Le qualificatif se suffit à lui-même.

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« Monter une affaire, dit-on. – Autant dire monter un coup ou monter le cou. La plus belle affaire du monde serait le lotissement ou la vente au doigt mouillé du Paradis terrestre. Il y aurait de l’argent à gagner, si l’état embryonnaire de nos connaissances géographiques… » (Léon Bloy – Exégèse des lieux communs – 1, CI)

« Quand on songe aux qualités pratiques d’homme d’affaires et au sang-froid de vieux diplomate que doit posséder, pour régir sa communauté, une mère abbesse, l’on est bien obligé de s’avouer que les seules femmes vraiment intelligentes, vraiment remarquables, sont, hors les salons, hors le monde, à la tête des cloîtres. » (Joris-Karl Huysmans) – Explicable à l’époque de l’auteur.

« Elles ont déserté le champ de bataille de l’indispensable guerre des sexes.  Pour se couler dans le moule masculin. Elles sont passées dans le rang de l’ennemi sans même s’en rendre compte. C’est le modèle Hillary Clinton, la femme d’affaires avec attaché-case au poing. Il y  a quelque chose de complètement stérile dans cette image-là de la femme. » (Roland Jaccard)

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