055,1 – Associations, Fondations ; Syndicats

– Les critiques ci-dessous ne visent que les associations qui passent leur temps et dépensent leur énergie à ce qui suit ; on les distinguera des nombreuses associations respectables.

– Se plaindre, protester, pleurnicher, gémir, hurler, mendier ; principales préoccupations de ce que les média nomment les associations, auxquelles notre corruption matérielle, morale et mentale  a conféré le droit invraisemblable de porter plainte au nom de prétendues victimes. Objectif numéro 1 : obtenir du fric-  objectif numéro 2 ; interdire toute pensée libre.

– Pour quelques unes, généralement anti-quelque chose, fort bruyantes, groupuscules de frustré(e)s ou d’arrivistes partagé(e)s entre le souci des questions qui les obsèdent et parfois ne les regardent pas et par la recherche de subventions, de généreux donateurs, de dommages-intérêts à ramasser… Leur objectif secondaire, plus proche du sadisme que de la charité, étant de culpabiliser tous les gens encore sains. Les plus excitées allant, sans scrupules, jusqu’à inciter à la délation. En clair, il s’agit de lobbys, souvent baptisés du doux nom de Comités de vigilance. « Il y a des êtres qui ont le goût de la délation. Ils jouissent des malheurs que leurs dénonciations peuvent valoir à leurs victimes. » (Alain de Benoist)

– Le droit, à elles conféré, de porter plainte et de se constituer partie civile n’a pas peu contribué à l’hystérie judiciaire des plus bruyantes et à leur cupidité.

– Pour mieux impressionner les gogos, certaines composées de trois inconnu(e)s frustré(e)s et cupides, se baptisent collectifs, ce qui fait grandiose et désintéressé.

– De même, quant aux subventions et dons à certaines des innombrables associations à prétention caritative qui servent essentiellement à faire vivre une bureaucratie parasitaire. « Qu’on arrête simplement de donner des chèques à des élus et à des associations. La politique du chèque, c’est une politique d’échec. » (Malek Boutih) – Pour beaucoup, leur seule culture est celle dite du guichet. – « La subversion subventionnée. » (Maurice Druon) – « On se trompe si l’on croit que donner est une chose facile. Elle présente beaucoup de difficultés pour qui du moins donne avec réflexion, sans semer au hasard. » (Sénèque)

– Leur ‘cœur de métier’ (comme on dit dans l’entreprise moderne) : la collecte inlassable de subventions publiques, et accessoirement des dons des particuliers. Le reste n’est bien souvent que de l’affichage.

– « Les associations ne veulent pas de com. ni de mesurettes, elles veulent des moyens. » (?) – Oui, cela fait belle lurette que l’on sait que par moyens il faut entendre beaucoup de fric.

-Le gigantesque scandale de l’ARC, Association pour la recherche sur le cancer, en 1996, aurait dû prévenir les Gogos qu’on ne verse pas à n’importe qui, n’importe où, n’importe comment, sans s’informer un minimum et, grand luxe, sans faire preuve d’intelligence et d’un peu de flair.

– Choyées par les pouvoirs publics bien-pensants pour la vigilance dont elles font preuve pour assurer la veille sanitaire du politiquement correct, pour leur contribution à la normalisation des comportements au niveau exigé par l’impérialisme ambiant (tolérance aveugle et droits à tout mais conformisme obligatoire et diffusion de la haine pour tout ce qui ne correspond pas aux fantasmes et aux intérêts dominants) ainsi qu’épisodiquement pour leur contribution à la réélection d’élus irréprochables (phénomène dit de clientélisme, datant des Romains et sans doute d’avant le Néolithique).

– Le vacarme que produit une association (communiqués, publicité, média, hurlements…), ses outrances verbales indécentes sont inversement proportionnels à son utilité. Devant toute proposition, protestent toujours et adoptent la position de Pierre Dac : « Pour tout ce qui est contre et contre tout ce qui est pour. »

– Nécessaires sont les associations de protection des consommateurs, mais un peu plus de modération ou d’équilibre ne nuirait pas (d’intelligence parfois). Elles aussi se transforment trop en institutions de contestation permanente en criant haro sans discernement, excitant ainsi indirectement les rancunes, les vindictes et les passions revendicatrices sur les mêmes cibles faciles, même si justifiées (banques…) incitant ainsi, objectivement, les usagers les plus bornés à aller jusqu’à des agressions physiques contre de modestes employés.

– Du temps où se manifestait quelque intelligence (ou du moins quelque analyse marxiste, du genre : qui paie la vitrine et la cuisine ?), les gens se seraient questionnés pour savoir d’où provenaient les ressources qui permettent (deux exemples) : aux Femen de voyager, s’exhiber, plastronner, et tout simplement d’exister et de vivre … aux grands bateaux et leurs équipages de sillonner sans cesse la Méditerranée pour faciliter le parcours des migrants. Ces questions subalternes, d’intendance, ne concernent clairement pas le journalisme dit d’investigation obéissant aux ordres et se contentant des axes de recherche qu’on lui fixe comme à ceux qu’on lui interdit.

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« La misère des autres devient notre terrain d’aventures … Nous sommes les consommateurs du spectacle toujours délectable de la misère et de la catastrophe, et du spectacle émouvant de nos propres efforts pour la réduire … Nous veillons à reproduire la misère comme gisement symbolique, comme combustible indispensable à l’équilibre moral et sentimental de l’Occident … Pas de plus belle preuve que l’inauguration sur le toit de l’Arche de la Défense, par un buffet somptueux offert par la Fondation des Droits de l’homme, d’une exposition des plus belles photos de toute la misère des peuples … la souffrance universelle sanctifiée par le caviar et le champagne.» (Jean Baudrillard)

« Tout dans l’histoire de l’ARC est scandaleux et révoltant, mais n’y a-t-il pas scandale aussi dans le fait que des millions de gens soient prêts à donner, sur n’importe quelle sollicitation charitable et médiatique ? Comment exiger des responsables qu’ils aient un usage rigoureux de fonds rassemblés aussi facilement et spéculant sur une charité aussi trouble … D’ailleurs l’escroquerie n’empêche pas les victimes mystifiées de donner avec la même candeur … Servilité spontanée et orchestrée. » (Jean Baudrillard – sur le colossal détournement de fonds à l’Association pour la Recherche sur le Cancer) – Donner aveuglément vaut corruption et participation à la pourriture ambiante.

« Le plus grand triomphe de la propagande communiste … fut la création des organisations en façade en papier mâché. Ces façades avaient pour but ‘d’accrocher’ des noms célèbres et de les exploiter au profit des causes communistes par l’usage de tracts, de lettres ouvertes, de pétitions, de déclarations, d’exposés, de discours, de protestations, et d’autres illusions de l’existence d’une lame de fond d’opinions. La perversité de la technique de la façade consiste à encourager un esprit de troupeau selon lequel seule ‘l’opinion collective’ fait poids, et si une critique ose remettre en cause un principe de la foi soviétique, il est noyé sous le chœur massif de dizaines et de dizaines de voix. » (Daniel Bell) – Ces procédés d’attrape-nigauds n’ont pas disparu avec le communisme officiel. La meute dominante médiatico-humanitaro-gauchiste sait parfaitement orchestrer les clameurs qui lui conviennent par le biais d’associations-pétitions bidons parrainés par quelques noms célèbres soit pourris, soit stupides (le cumul est possible)

« Certaines associations se posent davantage en hérauts inquisiteurs d’une nouvelle ‘bien-pensance’ qu’en défenseur d’un intérêt commun : à la morale, on préfère manifestement le moralisme. » (Paul Bensussan, Florence Rault) – C’est plus facile, psychologiquement et matériellement plus rentable.

« On est si sûr d’avoir raison dans le ciel qu’on congédie non seulement la raison dans le monde, mais le monde de la raison. » (Maurice Blanchot) – Les hurlements des excité(e)s des associations militantes débordantes de fureur.

« Redoutons la puissance des foules, mais plus encore celle de certaines castes (magistrats…). Les unes peuvent se laisser convaincre, les autres ne fléchissent jamais … Les comités, quels que soient leurs noms : clubs, syndicats, etc., constituent un des redoutables dangers de la puissance des foules. Ils représentent, en effet, la forme la plus impersonnelle, et, par conséquent, la plus oppressive de la tyrannie. Les meneurs qui dirigent les comités étant censés parler et agir au nom d’une collectivité sont dégagés de toute responsabilité et peuvent tout se permettre. » (Gustave Le Bon) – Prémonitoire quand on voit la dictature exercée aujourd’hui par des associations hurleuses d’une poignée de membres grassement stipendiés sur les fonds publics. Négation de la démocratie.

« Pourquoi les milieux politiques français confondent si facilement l’opinion des groupes d’influence avec l’opinion publique et pourquoi ils accordent davantage d’attention aux premiers … Ce qui menace les démocraties et la démocratie française plus que d’autres, c’est en fait la tyrannie des minorités … Le droit consenti aux associations de se porter partie civile … ce qui leur accorde un pouvoir considérable (notamment de dénonciation, de terreur et une grande motivation à la poursuite de bénéfices financiers). A ce sujet, un économiste et sociologue américain, Mancur Olson, a identifié le mécanisme qui est à l’origine de ce pouvoir … Lorsqu’un petit groupe organisé cherche à imposer ses intérêts ou ses idées à un grand groupe non organisé (majorité silencieuse), il a de bonnes chances d’y parvenir … ‘effet d’exploitation du gros par le petit’. En effet, les membres du grand groupe, non organisé, ont alors tendance à espérer qu’il se trouvera des candidats pour organiser la résistance au petit groupe organisé et à en assumer les coûts (et les coups), profitant ainsi, en quelque sorte, d’une espèce de ‘billet gratuit’C’est la loi d’airain de l’oligarchie (dissimulée derrière la démocratie) qui tend à conférer un pouvoir indistinctement à tous les lobbys … Ces groupes d’influence comportent une forte proportion d’acteurs partiaux (et puissants) … En raison de la concentration du pouvoir qui la caractérise, la France est plus exposée … à l’effet ‘Olson’ … A l’autre extrémité du spectre des groupes d’influence se situent les groupes de connivence… partageant ce que Robert Merton a dénommé une ‘hémophilie de valeurs’. Ainsi nombre de journalistes … partagent largement des vues communes sur le politiquement ou le culturellement correct … Ainsi s’explique la persistance des phénomènes idéologiques même négatifs (lecture globale, pédagogie de type rousseauiste, histoire mythique de la Révolution de 89, diabolisation de l’entreprise, laxisme pénal ; tous phénomènes de pensée unique, de politiquement correct, de terrorisme intellectuel). » (Raymond Boudon) –  – L’effet Olson joue pleinement pour la chasse aux subventions et exonérations (qui opèrent aux dépens de la grande masse des contribuables inorganisés) – La plupart des politiciens sont issus de ces groupes de pression, leur doivent leur carrière – Cet effet Olson se retrouve dans le phénomène que les sociologues, du travail notamment, appellent le passager clandestin : celui qui profite de l’effort des membres d’un groupe pour bénéficier des avantages sans guère contribuer.

« Le fait que certains groupes parviennent à imposer leur point de vue ‘contre’ la majorité, y compris en démocratie … Lorsque la majorité reste apathique et ne trouve pas assez de motivation pour s’opposer … Lorsque la minorité parle si fort qu’elle arrive à faire confondre la visibilité de son point de vue avec de la représentativité … Confusion entre la visibilité de l’information et sa représentativité. » (Gérald Bronner –sur la tyrannie des minorités)

On peut rapprocher de cet effet Olson ce que Jared Diamond appelle La ‘tragédie des communs’.

« Prenez une situation dans laquelle beaucoup de consommateurs partagent une ressource qu’ils possèdent en commun … Si chacun surexploite la ressource, elle diminuera et  finira par disparaître … Mais tant qu’il n’existe pas de régulation efficace (et contraignante), chaque consommateur a raison de se dire ‘si je n’attrape pas ce poisson ou si je ne laisse pas mes moutons brouter cette herbe, un autre le fera, je n’ai donc pas de raison de me retenir’. Le comportement rationnel consiste à consommer avant que l’autre puisse le faire. » (Jared Diamond)

 « Une armée mexicaine d’associations de ‘terrain’ … Une kyrielle d’associations souvent motivées par l’appât de la finance publique. » (Gérald Bronner – sur la multiplication d’associations promettant de parvenir à la déradicalisation). Mais on peut élargir cette prolifération dès qu’une cause quelconque émerge suffisamment pour attirer les subventions bénies.

« Ligues, fondations, institutions pullulent : tout ce qui fait souffrance génère un comité chargé de le combattre … concours de bienfaisance. » (Pascal Bruckner)

« Les hommes ne sont pas liés les uns aux autres par des papiers et des tampons. Ils sont conduits à s’associer par des ressemblances, des conformités, des sympathies. » (Edmund Burke)

« L’homme qui s’agrège se sent à la fois libéré de sa propre charge de distance et l’égal de l’autre. » (Elias Canetti)

« Tirant parti de la chute de l’empire soviétique et des désordres qu’elle a entraînés, manipulant habilement  des populations et des territoires exclus de l’économie officielle, les activités criminelles prolifèrent partout et se relient les unes aux autres en utilisant le réseau mondial de l’information, au point de constituer une économie criminelle mondialisée, qui pénètre les marchés financiers, le commerce, les entreprises et les systèmes politiques de tous les pays … Aux origines du crime mondialisé, on trouve des organisations enracinées dans des pays, des régions, des groupes ethniques. Elles ont toujours une longue histoire, liée à la culture locale, avec son idéologie, son code d’honneur et ses méthodes d’asservissement … Trafic de stupéfiants, trafic d’armes … Mafia d’origine italienne, triades chinoises, cartels colombiens et mexicains, groupes mafieux issus du démantèlement de l’ex URSS et de la stupidité criminelle des interventions occidentales dans les Balkans (Albanais…), mafias ukrainiennes au service des Etats-Unis. » (Manuel Castells)

« La gauche a tenté de pallier son éloignement du peuple par la création d’associations contestataires dépourvues d’adhérents mais dotées, grâce aux subventions publiques, de ‘salariés de la contestation’ dont le principal terrain est l’espace médiatique. » (Eric Conan) – Plus, l’occasion de semer la m…., d’engraisser quelque copains et de se créer une clientèle électorale.  Soins constants.

« J’adhérerai à SOS Racisme quand ils mettront un S à racisme … Mais à SOS machin, ils ne fustigent que le Berrichon de base ou le parisien-baguette. » (Pierre Desproges)

« Dans certaines associations humanitaires, on n’y aime guère les hommes, on aime à s’occuper d’eux… La génération humanitaire, dégrisée de la grande histoire, ne s’intéresse plus qu’au malheur de l’espèce : sa solidarité prend la forme d’un immense maternage. Sa prédilection pour les désolés anonymes ressort davantage du principe de précaution que de l’élan fraternel … Sur le plan intellectuel au moins, cette morale de l’extrême urgence est une morale de l’extrême confort. » (Alain Finkielkraut)

« Avec la mise en place de procédure et de recrutement direct, sans qu’il soit nécessaire d’en passer par la case du militantisme, on favorise ‘de facto’ les personnes dotées d’un important capital social, économique et culturel. La mobilité sociale ascendante par le biais du militantisme politique traditionnel s’en trouve fortement amortie. » (Jérôme Fourquet) – C’était un des objectifs de la promotion de la société civile et surtout des associations ; recruter des laquais, généralement incompétents de plus. 

« Une association privée, si petite soit-elle, constitue une communauté ; en tant que telle, elle sert d’idéal  pour un projet plus vaste, pour l’accomplissement duquel un individu peut travailler et sacrifier ses propres désirs égoïstes. » (Francis Fukuyama) – Certes, oui, il y a de bonnes associations.

« L’expansion de la nébuleuse associative … L’association est fille de la subvention … Les partis ont découvert un relais de secours et un appréciable vivier de formation (et d’agitation), à un moment où les militants se faisaient rares (années 80…). Une partie de la génération soixante-huitarde se retrouvait, dans le même temps, en quête d’emploi … Un type inédit de militant de métier a fait son apparition. Au-delà et au titre du travail social, la protestation sociale a été élevée en fonction d’utilité publique … Ces salariés de la contestation n’ont d’autres moyens de justifier leur existence et de conforter leur boutique que de surenchérir dans la contestation. Le volume de la subvention est à la mesure de la crainte qu’ils inspirent … Les associations se révèlent un tenant-lieu aussi artificiel que les syndicats et les partis, mais un tenant-lieu qui anime la rue et qui peuple les ondes. » (Marcel Gauchet)  – Grâce aux si complaisants média, des groupuscules de trois individus peuvent se faire passer pour des associations de masse. 

« Je me méfie des idées qui rapportent et des opinions confortables ; je veux dire dont celui qui les professe peut tirer profit. » (André Gide) 

« ‘Chacune des causes doit se mettre en marche si elle veut recueillir des fonds. Ce n’est pas parce qu’on a une bonne cause qu’on va se vendre nécessairement’. Les Causes sont donc à vendre et cherchent des acheteurs, et les acheteurs de Causes, ce sont les donneurs. » (Jacques Godbout – sur la collecte de fonds confiée à des entreprises commerciales) – Où plus rien n’a ni sens ni moralité.

« La notion de société civile se révèle tellement floue qu’elle favorise toutes les usurpations et les coups de main pour la monopoliser au profit des plus audacieux, représentés spécialement par les ONG et autres associations avides de subventions. » (Guy Hermet)

« Une entité fermée, formés par des ONG et des entités ou intérêts de toutes natures, sélectionnées selon des procédures non révélées, et dont le ‘peuple’ ne comprend qu’un petit nombre de dirigeants associatifs, professionnels ou institutionnels permanents et souvent appointés d’une manière ou d’une autre. » (Guy Hermet)

« Effectifs d’adhérents échappant à tout contrôle ; finances impénétrables ; choix fondamentaux souvent effectués de manière opaque par de petites coteries, mode de désignation des candidats échappant à toute règle autre que celle de la faveur du sommet » (Pierre-Patrick Kaltenbach)

« A ces ‘groupes d’oppression’ (Philippe Muray), à ces associations qui revendiquent le monopole du Bien et qui font trembler les responsables politiques (ceux-ci jouant le jeu hypocrite de  l’ultra-républicanisme incantatoire et du clientélisme communautaire bien réel)  … le nombre n’importe pas et compte moins que la capacité d’intimidation et la capacité à construire un discours repris en écho par la société médiatique … Il semble que pour de nombreuses associations, la première chose effectuée, une fois les statuts déposés, soit de transmettre un dossier de subvention aux pouvoirs publics. » (Julien Landfried)

« La réalité, c’est ce que montre la télévision, fidèle écho des récits autorisés … Des associations groupusculaires peuvent se présenter comme des mouvements de masse. ‘Les associations se révèlent comme un tenant lieu aussi artificiel et vide que les syndicats et les partis, mais un tenant lieu qui peuple la rue et anime les ondes’ … Sous le règne du Spectacle, nul besoin de partisans pour peser sur le cours des choses. Mieux vaut faire un bon vingt heures. » (Elisabeth Lévy – citant Marcel Gauchet)

« Associations dont l’existence est essentiellement numérique  bénéficiant d’un écho médiatique qui décuple leurs forces et leur capacité d’intimidation. » (Elisabeth Lévy –  sur les multiples associations dont la principale activité est  la délation)

« Par leur hystérie judiciaire, ces associations sont largement responsables de la délocalisation du débat public dans les prétoires. » (Elisabeth Lévy) – Copions les Américains jusque dans leur pourriture.

« La tolérance confine au masochisme. Et la générosité à la connerie. » (Elisabeth Lévy – sur les subventions accordées à certaines associations et personnalités qui nous haïssent) – Lâcheté et servilité conviendraient encore mieux que masochisme.

« Certaines recherches font bien ressortir qu’ils rendent la structure associative obsolète. Cette dernière pourtant se voulait souple, proche des usagers, directement en prise avec leurs problèmes ; mais elle était par trop finalisée, organisée, reposant la plupart du temps sur une idéologie politique ou religieuse. » (Michel Maffesoli – sur les nouveaux réseaux d’amitié et les tribus métropolitaines) – Peut-être quelque exagération.

 « Lorsque tous les pigeons ont été plumés, il reste toujours aux escrocs du cœur à se rabattre sur la jobardise incarnée : l’Etat et ses affidés. D’autant que les élus et les fonctionnaires ce n’est pas leur pognon qu’ils dilapident ainsi. » (François Marchand)

« La multiplication indéfinie de ces micro-partis (les associations) ne doit pas nécessairement être interprétée comme un progrès manifeste de l’esprit démocratique. En simplifiant et en accélérant … les procédures d’accès au pouvoir et à la reconnaissance médiatique, les associations peuvent tout aussi bien ne représenter qu’une simple ‘démocratisation de la volonté de puissance’ et donc une possibilité supplémentaire de parler au nom du peuple et de décider à sa place. » (Jean-Claude Michéa) – On arrive plus vite ainsi ; demander à tant de ministres, et, en plus, négation de la démocratie. C’est tout bénéfice.

« Chacun sait, à l’exception, peut-être, des militants eux-mêmes, que l’univers des partis, des syndicats, des associations n’est pas mieux protégé qu’un autre, et peut-être moins bien, contre les lutte de pouvoir et les conflits d’ego. » (Jean-Claude Michéa) – Là, ceux qui ont un peu bourlingué savent qu’on y règle ses comptes au couteau.

« Les hommes ont l’instinct de s’assembler en troupeaux pour combattre d’autres troupeaux. » (Gaetano Mosca)

« L’homme communautariste, l’homme des associations, est l’homme du ressentiment sous sa figure contemporaine. Son impuissance à être l’a conduit vers les officines où bout l’esprit de vengeance. Il lui faut sans cesse des combats, des revendications … pour se sentir être. » (Philippe Muray)

« L’égalitarisme démoniaque contemporain qui fait pousser partout les associations de persécution (les ‘Observatoires’ et autres ‘SOS-Machintruc’ communautaristes où aboie sous toutes ses formes l’envie du pénal…) … groupes de pression qui n’existent que pour se porter partie civile … réservoirs inépuisables d’où jaillissent de nouveaux moines fanatiques. » (Philippe Muray)

« Et puis il y a l’Opinion, la grosse machine obèse de la télévision mongoloïde, de la téléopinion … un véritable magma de ligues en folie, le plus énorme meeting jamais vu de persécuteurs polyvalents, redresseurs de tous les torts, surveilleurs de tous les écarts, repéreurs de tous les blasphèmes, sondeurs de toutes les intentions, enregistreurs de mots de travers contre… » (Philippe Muray) – Contre tout ce qu’aimait le peuple.

« Le zèle des innombrables associations de ‘minorités’ en lutte, comme on sait, contre toutes les ‘discriminations’, consiste sans relâche à faire exister des adversaires qui ne sont plus que des épouvantails, et qu’il s’agit d’agiter pour perpétuer leur domination (celle des dites associations), tout en faisant croire qu’elles sont dominées. » (Philippe Muray)

« L’envie du pénal. » (Philippe Muray – sur la fureur des associations de faire condamner et d’en toucher les dividendes)

« N’importe quel groupe d’individus (éventuels sous-marins de partis, de sectes…) peut désormais s’attribuer la capacité juridique d’attaquer autrui pour ses opinions (vu les peines financières exorbitantes laissées libres à l’appréciation des tribunaux, certaines associations … ont un intérêt financier direct à agir et à opérer en officines de délation). » (Philippe Nemo – La régression intellectuelle de la France)

« Créer un peuple de substitution. » (Michel Onfray) – Tel est le rôle de beaucoup d’associations créées par les politiques. Evidemment, elles sont plus faciles à acheter, surtout si on nomme des copains à leur tête.

« Leur importance ne relève pas uniquement des résultats qu’obtiennent les acteurs … mais du consensus qu’elles permettent d’établir au sein de la société. » (Perrot, Rist et Sabellei) – Il me semble qu’on oublie les subventions, le rôle d’agent électoral, d’inquisiteur-justicier exigeant des dommages et intérêts, l’intoxication opérée par leurs hurlements continuels…

« Le fait que certains adhérents de ces associations soient des avocats n’est pas neutre. En poursuivant à tout bout de champ, en jouant sur la fibre victimaire … à partir de dossiers médiatisés …  ils développent leur propre fonds de commerce … Les animateurs’ vivent sur la bête’ et font vivre des cercles concentriques … Aux Etats-Unis, il existe une  niche, la niche des ‘prêteurs à court terme’, officines discrètes, non soumises aux régulateurs, qui prêtent à des taux très élevés, 100%, comme avances à valoir sur les indemnités (dans le domaine médical par exemple, mais depuis peu se tournant vers les femmes victimes de harcèlement) » (Natacha Polony, Jean-Michel Quatrepoint – évoquant les associations-plaintives) – La prétendue morale bien-pensante au secours de le cupidité.

« L’énorme phénomène de privatisation de la législation française par des groupes d’intérêt qui constituent certainement le principal fléau des démocraties contemporaines. Ceux-ci profitent généralement de la caisse de résonnance médiatique pour exploiter et instrumentaliser n’importe quel fait-divers en jouant sur la corde émotionnelle, compassionnelle et parfois stupide d’une population ignorante et totalement dépourvue de culture politique et juridique, à laquelle on fait gober n’importe quel ‘storytelling’ extravagant et mensonger comme, par exemple,  celui de l’affaire Sauvage. » (Anne-Marie Le Pourhiet)

 « On ne compte plus les associations qui revendiquent de porter la parole des femmes et de défendre leurs intérêts alors que leur représentativité est nulle et que leurs dirigeantes n’ont été évidemment élues par personne. La composition des organes de ces associations, qui s’infiltrent dans tous les rouages de l’appareil d’Etat, révèle souvent des personnalités acariâtres et énervées, marquées par un fort ressentiment personnel ou des expériences douloureuses qu’elles soignent avec un acharnement militant tendant à transformer leur vécu subjectif en combat objectif. Les procédés utilisés sont souvent très discutables, voire franchement malhonnêtes : production de résultats d’enquêtes opaques et approximatives, affirmations mensongères ou clairement erronées, chiffres déformés, études biaisées, sondages effectués à partir d’échantillons truqués, falsification d’informations par action ou par omission, commentaires abusifs et déloyaux… » (Anne-Marie Le Pourhiet)

« Marginalisation du pouvoir politique, donc démocratique, s’accompagnant parallèlement d’un engouement pour de oligarchies sociétales multiples : associations, communautés, lobbies, ONG, autorités administratives indépendantes, commissions, comités ou hauts conseils d’experts ou de militants, médias, instituts de sondages, juges internes, européens ou internationaux… ni désignés ni contrôlés par le suffrage universel. Les élus eux-mêmes semblant participer activement à cette dépolitisation en suivant systématiquement les consignes de ces oligarchies encouragées … et financées par les pouvoirs publics. » (Anne-Marie Le Pourhiet)

« Personne ne devrait contribuer à une œuvre charitable s’il ne connaît pas la compétence du responsable et la confiance qu’il peut avoir envers lui. » (Ramban, XII° siècle – cité par Jacques Godbout) – Avertissement aux innombrables Gogos, aussi coupables que les corrompus.

« L’escroquerie caritative au ‘Téléthon’ et des prochains résultats expérimentaux prometteurs qui n’arrivent jamais, dans le traitement des… Ce que depuis dix ans ils promettaient pour dans dix mois est désormais repoussé à dix ans, et ce qu’ils annonçaient pour dans trois ans l’est à la fin du siècle. » (René Riesel) – Mais le Gogo, toujours prêt, ne se souvient de rien

« Les groupes et groupements se définissent comme ‘mouvements’. … » (Hartmut Rosa) – Conformément au processus général d’accélération.

« Schéma classique du léninisme : les minorités agissantes assiègent leurs adversaires en présentant des ‘réformes de société’ comme l’expression de la volonté générale. » (Michel Schneider) – Besoin urgent, vide juridique, aspiration très large, fort soutien, des millions attendent, on attend (qui est on ?), scandaleux, situation inadmissible, désespoir de victimes (imaginaires)… 

« Il règne souvent dans le sein des associations une tyrannie plus insupportable que celle qui s’exerce dans la société au nom du gouvernement qu’on attaque. » (Alexis de Tocqueville)

« Leur noble action ne constitue pas, en soi, une légitimation de leur point de vue. » (Michèle Tribalat – sur les associations d’aide aux immigrés) – Hélas si, dans le monde où la pleurnicherie dicte sa loi à la raison disparue.

« Toutes les associations ont les défauts des couvents. » (Alfred de Vigny)

« L’étatisme redistributif ne répond pas à un enjeu de distribution, mais à un enjeu de pouvoir ; il ne s’agit pas d’accroître le degré réel de distribution, mais de transférer la capacité distributive du secteur privé vers le pouvoir … pas d’améliorer le bien-être des populations, mais d’ajouter de nouveaux pouvoirs au pouvoir. » (Bertrand de Jouvenel – interprété par Jean-Philippe Vincent. 

« Qui donne au commun, ne donne pas à un. » (proverbe)

« Le voyeurisme généralisé (brandi par les associations de férocité) n’a rien à voir avec les libertés publiques. » (?) – La fameuse transparence (théoriquement souhaitable) n’est souvent qu’un outil de chantage et de persécution de plus, utilisée pour abolir toute vie privée, laquelle est insupportable aux excité(e)s frustré(e)s et cupides.

« Personne ne devrait contribuer à une œuvre charitable s’il ne connaît pas la compétence du responsable et la confiance qu’il peut avoir en lui. » (?) – Ou au moins, une bonne connaissance de l’association.

« Comment peut-on être fier d’avoir arraché une subvention. » (?) – Activité principale, sinon unique, de certaines associations.

« Ces associations fabricantes de ‘lien social’  et du ‘vivre ensemble’, surtout clientes de subventions. » (?)

Rien que pour les associations réunies dans la fédération Cap-ours, soit les partisans de l’ours (dans les Pyrénées), Yves Michaud en a compté 31 (31 subventions sans doute pour une cause certes intéressante).

Extraits de l’ouvrage d’Augustin Cochin, Les sociétés de pensée et la démocratie – axé sur la Révolution de 1789, mais n’a, de nos jours, rien perdu de sa pertinence ; même s’il manque peut-être d’insistance sur le rôle d’éclaireur-manipulateur-agitateur de ces sociétés, pépinières d’arrivistes-arrivants (la crème de la fameuse société civile actuelle).

« Question d’âge, les jeunes gens ; ou d’état, les gens de loi, de plume ou de parole ; ou de convictions, les sceptiques ; de tempérament, les vaniteux ; ou de culture, les superficiels, car devant eux s’ouvre une carrière que le bas monde ne leur offre pas, et où leurs lacunes deviennent des forces. Par contre, les esprits sincères, qui vont au solide, à l’effet plus qu’à l’opinion, se trouvent là dépaysés et s’éloignent peu à peu d’un monde où ils n’ont que faire. Ainsi s’éliminent d’eux-mêmes les réfractaires, les ‘poids-morts’, c’est-à-dire les gens d’œuvre, au profit des plus aptes, les gens de parole, sélection mécanique … Les plus légers prendront le haut, les plus lourds et chargés de réalité tomberont … Voici donc nos gens isolés des profanes, à l’abri des objections et résistances réalistes, et en même temps rapprochés les uns des autres et soumis à un entraînement d’autant plus intense que le milieu est plus pur … Les purs seraient bien fâchés d’avoir pour eux le nombre ; ils s’en estimeraient moins purs … Double loi de triage et d’entraînement poussant la troupe des frères en sens inverse de la vie réelle … La capitale du monde des nuées : le Grand Orient … L’adepte appartient corps et âme à la société qui l’a formé, et ne peut plus vivre dès qu’il en sort ; sa logique, si bien affranchie du réel, se brise au premier contact avec l’expérience … La société fondée, il est fatal qu’un cercle intérieur se forme qui la dirige à son insu … La petite cité, axée sur la discussion verbale et non l’effort réel, y décide des réputations et ayant pour but l’opinion et non l’effet,  fait parler à son gré l’opinion de la grande cité (le peuple), où chacun se soumet à ce qu’il croit approuvé de tous, car une opinion ne s’impose comme celle de tout le monde que si on la croit soutenue par n’importe qui (d’où l’importance du secret) … De là, contre le commun des hommes, qui ne sont pas de ces privilégiés de la conscience et de la raison, la nécessité d’employer la ruse et la force. C’est un devoir pour les initiés. ‘Il faut les forcer d’être libres’ (J. J. Rousseau) … Au premier relâchement de la surveillance  et de la contrainte (la société de pensée, le comité, n’a pas vocation à se compromettre effectivement dans l’action, laissée aux gouvernants, mais à exercer la fonction essentielle de surveillance), la foule reviendrait d’elle-même aux ‘intérêts particuliers’, ceux de la vie réelle …  Les circonstances rendent compte d’un acte, d’un accident, non d’un dogme, d’une foi, d’une morale nouvelle … né dans un monde à part, le monde des sociétés de pensée, loges, clubs, sociétés populaires, peu importe le nom … C’est la petite cité, isolée épurée et ferme, qui a sa loi et son progrès à elle, où l’on fait de la politique loin des affaires, de la morale loin de l’action, où la vie réelle, tout ce qui est tourné vers l’action et l’effet n’entre pas … où on ne vient que pour ‘penser’, pour ‘s’éclairer’ (et pour influencer et manipuler) … Le fanatisme est l’œuvre des sociétés de pensée en général … Elles ont bien plus à craindre des regards d’un profane que des coups d’un ennemi et ne sauraient permettre qu’on voie rien d’elles que ce qu’elles montrent … Le bon patriote est un homme inquiet par état, quiconque se rassure est suspect (patriote : membre des sociétés populaires à l’époque de la révolution de 89, époque étudiée par l’auteur – toujours vrai, car cet état sert à maintenir l’état de tension indispensable à l’élimination systématique des opposants). »

 Augustin Cochin développe également sa thèse sur le rôle fondamental des sociétés de pensée dans un autre ouvrage, L’esprit du jacobinisme, toujours axé sur la Révolution de 1789 ; mais toujours actuel, sauf évidement pour les Gogos-Bobos qui croient à la pureté transparente des institutions et des personnages qui les fréquentent.  Excusez d’éventuelles redondances avec la section précédente du même auteur.

 « La réalité n’est jamais prise en compte, puisqu’elle n’a pas à l’être… Les idées sont des idées pures … Une société de pensée vise l’unanimité et ne peut que prendre à crime toute dissidence et même tout dissentiment … Les individus les plus compétents, les plus profonds, les plus savants s’élimineront d’eux-mêmes par incapacité à supporter les discussions des imbéciles (mécanisme de sélection automatique) … Ces sociétés se constituent nécessairement en réseaux … Se sentant capable de réformer une province, on est capable de réformer l’univers … Un parti de rêveurs et de braillards …  une minorité nulle composée de nullités se retrouve en état de peser sur les destinées de la majorité en le trompant et en la manœuvrant (majorité ainsi obtenue aux Etats généraux). » (Préface de Jean Baechler au livre d’Augustin Cochin)

« Monde où, l’on cause et où l’on ne fait que causer, où on ne vient que pour penser, pour ‘s’éclairer’, où  l’essence est la discussion verbale, le but, l’opinion, l’avènement d’une opinion sociale,… On persécute, autre pratique de secte, avant la Terreur sanglante de 1793. Il y eut, dès 1765, une terreur sèche dont l’Encyclopédie fut le Comité de salut public et d’Alembert le Robespierre. Elle fauche les réputations comme l’autre les têtes … Il n’y a pas tant d’écart entre l’esprit des derniers Salons et l’emphase des premières Loges … Entré dans la société, la loi de sélection (voir préface de Jean Baechler ci-dessus) et d’entraînement jouant, on n’est libre que d’opiner … La volonté générale est libre comme la locomotive sur ses rails … Brillant de la vertu, on sert la communauté (et son intérêt), le Jacobin est un composé de ‘vertu’ abstraite et ‘d’arrivisme’ pratique  … L’adepte appartient à la société … La société tient l’intelligence comme la volonté … perte du sens du réel … Tout vote officiel de la société est précédé, déterminé par une délibération officieuse du cercle intérieur, tout groupe est  ‘profane’ par rapport à un groupe ‘initié’ plus restreint, plus uni, plus actif, plus clairvoyant … C’est par l’entraînement et le sens de la claque qu’on conquiert l’opinion profane … Chacun se soumet à ce qu’il croit approuvé de tous, sans talents, sans risques, sans intrigues grossières, par la seule vertu de son union, la petite cité fait parler à son gré l’opinion de la grande (du peuple au sens large), conquête du grand peuple par le petit, tout un arsenal d’instruments bizarres, sociétés délibérantes et permanentes, comités, sections, assemblées, tribunaux, agents, etc. dont la fonction ne comporte aucune charge, aucun contact avec les affaires, avec le réel, mais est toute de surveillance … La tyrannie du Petit Peuple sur le grand est devenue si évidente que lui-même ne la nie plus, de partout, de Lyon, de Strasbourg, de Troyes, de Besançon, de Mâcon, de Marseille, etc., on demande de ‘bons républicains, sages et probes’, pas une ville  sur laquelle son club n’appelle le feu du ciel, l’armée révolutionnaire et la guillotine. On exécute un village comme un homme … Réseau centralisé des sociétés, en avril 89, étranges mêmes requêtes de Rennes à Aix, de Metz à Bordeaux, même affolement sans cause vers le 10 juillet, mêmes émeutes le 20. Mêmes cahiers de doléances  pareils jusque dans leurs phrases. »

 

 

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